
Marion
GROSJEAN
Mère de 3 enfants, expat’ de l’autre côté de l’océan, salariée en entreprise pendant une vingtaine d’années, épouse d’un homme au métier risqué et médiatisé…
Le cumul de toutes ces casquettes m’a naturellement poussée vers le coaching. Que mon expérience soit utile ! Cette idée me tenait à cœur. Depuis les États-Unis, j’ai donc suivi une formation, parachevée par un diplôme certifié d’État, afin d’être habilitée à partager mes connaissances.
La première leçon que j’en ai tirée ?
Le changement est un déclencheur émotionnel et un apprentissage parfois difficile, mais nécessaire pour une meilleure adaptation à notre environnement. Tout est changement autour de nous, tout le temps : de la flore du printemps à celle de l’hiver, ou, plus concrètement, de la position des joueurs sur un terrain de foot à la restructuration en interne d’une société ! Le monde évolue en permanence, suscitant en nous des émotions qui influencent nos réactions. À nous de savoir qu’en faire ; de choisir leur impact sur nos prises de décision.
Une info amusante : la racine latine du mot “émotion”, ex motere, signifie “se mettre en mouvement”. Alors… En avant toute !
Les émotions sollicitent, par exemple, notre mémoire pour l’aider dans son travail. Qui ne connaît pas par cœur une chanson ou une réplique de film culte ? Alors qu’il est laborieux de réviser un contrôle ! La joie nous interpelle, et nous apprenons mieux sous son joug.
“À chaud”, les émotions sont plus fortes que les mots. Même si l’écrivaine qui sommeille en moi a du mal à l’admettre !
Heureusement, nous pallions les failles de notre vocabulaire en l'ajustant à notre société (une langue est bien vivante !). Un exemple, là encore : l’expression “se mettre en danger”, entendue désormais pour tout nouveau challenge… N’est-ce pas une hyperbole de la réalité ?
“Je veux me mettre en danger à la prochaine réunion en proposant un nouveau projet !”
D’une manière plus large, qu’il s’agisse de monter sur scène ou d’entamer une reconversion professionnelle, la question de vie ou de mort intrinsèquement liée à la notion de danger n’a pas lieu d’être. Hormis… quand on est pilote de Formule 1, peut-être ?!
D’accord, il n’a aucun péril à monter sur une scène, mais… on n’en tremble pas moins. Les glandes sudoripares s’activent, le rythme cardiaque s’accélère... et nos émotions prennent le contrôle. À nous de les utiliser à bon escient.
Si vous lisez ces lignes, c’est que vous en prenez le chemin pour mieux les vivre, prendre vos décisions et asseoir votre assertivité.
Bienvenue dans le coaching !
Qui suis-je ?
Pas de biographie léchée, rédigée à la troisième personne du singulier !
Toutefois, pour celles et ceux qui ne me connaissent pas, je me permets ce petit résumé des derniers épisodes…
J’ai débuté ma carrière en 2003 sous mon nom de jeune fille, Marion Jollès.
Journaliste spécialisée dans le sport de haut niveau pendant près de 20 ans, j’ai réalisé des reportages et animé des émissions TV dans un univers compétitif et exigeant, embrassé par passion.
En 2020, lorsque Romain, mon pilote de mari, est victime d’un accident traumatisant en Formule 1, l’angoisse et la pression ont aiguisé ma résilience.
Nous nous sommes alors expatriés avec nos trois enfants aux États-Unis, où il poursuit sa carrière, tandis que j’en profite pour revenir à mes premières amours : l’écriture. De l’autre côté de l’océan, je nourris mes liens avec la France à travers la publication de romans ( Les Fausses Promesses des cigognes, À Sœur perdue ) et d’une autobiographie cosignée avec mon anagramme, La Mort en face.
En 2025, diplôme certifié d’État de coach professionnel RNCP en poche, je souhaite me rendre utile en accompagnant ceux qui me sollicitent sur le chemin de leur propre bonheur.
